Paul Gifford

Century Homes Calgary est un événement visant à célébrer le premier boom immobilier de Calgary qui a atteint son sommet il y a 100 ans, en 1912.

Milena Ivkovic croit qu’il ne suffit pas d’apprendre l’histoire, mais qu’il faut la comprendre de façon concrète. Grâce à l’analyse de sources primaires qui illustrent plusieurs perspectives différentes, elle invite ses élèves à approfondir leur apprentissage de l’histoire et à mieux comprendre ce que nous disent ces sources sur notre histoire et sur nous-mêmes.

Brian Jaffray a enseigné dans les Territoires du Nord-Ouest pendant plus de vingt-neuf ans. Pendant toutes ces années, il s’est toujours efforcé de proposer à ses élèves des outils leur permettant d’explorer l’histoire du Canada dans le cadre de projets dont ils sont au cœur. Mais dans le Nord, cet objectif revêt des difficultés particulières. Traditionnellement, la culture déné est transmise oralement, en langue slave.

Lorsqu’Elizabeth Phipps a lancé son projet sur le paysage de la Saskatchewan, elle voulait aider ses jeunes élèves à comprendre la relation historique unique entre les Autochtones et les non-Autochtones du Canada.

Dès le début de sa carrière d’enseignant, Scott Masters a constaté que ses élèves avaient peu d’occasions d’établir des liens avec les générations précédentes. Il s’est donné pour mission de remédier à cette lacune. Son projet, appelé Crestwood Oral History Project, a débuté par des conférences en classe.

Pour Janet Thompson, la meilleure façon de motiver ses élèves est de leur donner des occasions de participer activement à leur apprentissage en « pensant comme des historiens ». C’est cette passion pour la pensée historique qui la guide dans son travail d’enseignante.

L’idée du projet « My Place in Canadian History: Digital Storytelling with Historical Thinking Concepts » est née d’une question toute simple, mais très pertinente que se sont posée Stefano Fornazzari San Martín et Daraius M. Bharucha sur leur propre expérience à titre d’immigrants au Canada.

Le Festival du Loup a été présenté pour la première fois en 2002. Un musée temporaire a ouvert ses portes pour la première fois durant le Festival. Depuis sa création, plus d’une vingtaine de familles pionnières de Lafontaine ont été les vedettes des différentes éditions du Musée vivant de Lafontaine.

Le caractère novateur de la Bibliothèque vivante a permis aux « lecteurs » de connaître plus en profondeur la réaction de notre pays aux conflits, tout en créant des liens personnels durables.

Le succès du DBC repose sur une combinaison de textes érudits et sur son accessibilité, ce qui en fait un de nos outils de référence les plus fiables sur les grands personnages de notre passé.